La privatisation des plages doit – enfin – cesser et les lois doivent – enfin – être appliquées.

La bataille pour les plages livrée actuellement par les paillotiers doit se terminer par l’application des lois Littoral et du PADDUC et la défense du Bien public : « L’usage libre et gratuit par le public constitue la destination fondamentale des plages » (article L. 321-9 du CE) 

Les associations ABCDE, GARDE, CEN, U Levante n’ont pas dit autre chose au cours de leurs auditions – le 28 novembre 2018 –  par la Commission des activités économiques du littoral créée par la Collectivité de Corse et – en janvier 2019 – par la Préfète de Corse. Le 23 mars 2019, l’Association pour le Libre Accès aux Plages et la Défense du Littoral a défendu sur Via Stella exactement les mêmes revendications.

En septembre 2009 et en avril 2010, les associations de protection de l’environnement avaient publié le spécial “Établissements et restaurants de plage sur le DPM en Corse – Les associations de protection de l’environnement demandent le respect et l’application du droit” . Il faut le relire ! Comme il faut relire les papiers parus en août et en septembre 2018 : Paillotes illégales, loi Littoral et PADDUC et Paillotes sur le DPM : les règles du possible :

http://www.ulevante.fr/paillotes-illegales-loi-littoral-et-padduc/

http://www.ulevante.fr/paillotes-sur-le-dpm-les-regles-du-possible/
Paillotes sur le DPM : les règles du possible

La privatisation des plages doit – enfin – cesser et les lois doivent – enfin – être appliquées